À cette époque, quelques aventuriers et trafiquants, souvent des Anglais, résident librement le long des côtes de la Nouvelle-Calédonie, servant le plus souvent les intérêts d'un chef local, pour la fourniture et l'entretien des fusils, voire pour la reproduction comme William Diaper ou Diapea alias « Cannibal Jack » (1820-1891), un beachcomber qui a déserté son navire très jeune à Maré et qui se vante dans ses écrits autobiographiques d'avoir eu « un harem » d'une trentaine de femmes indigènes, dont la fille du chef « Bume » alors qu'il résidait à « Koni » (Koné) probablement entre 1843 et 1847[13]. Par la suite, dans les années 1920 et 1930, les autorités coloniales vont s'efforcer, dans le cadre d'une « nouvelle politique indigène » entreprise à partir de 1925 par le gouverneur de l'époque Joseph Guyon, d'améliorer la situation tant sociale qu'économique des Mélanésiens afin d'éviter de nouveaux troubles : à Koné se développe ainsi la culture du café dans les réserves (une activité déjà présente dans les propriétés européennes depuis les années 1860, et qui n'est plus exercée, des années 1950 aux années 1960, que par les seules tribus mélanésiennes) ou en leur ouvrant les portes de l'enseignement public dans des « écoles indigènes » - sans accès néanmoins au secondaire (et ce jusqu'en 1952, tandis que le premier bachelier kanak n'obtient ce diplôme qu'en 1962, le premier pour Koné remontant à 1977) -, celle de la région étant installée dans la tribu de Paouta à Pouembout. Cette portion de terrain de Koné est connue pour être un « objet de plus d'une convoitise » comme le décrit Nas de Tourris en 1877[21]. La côte est Le fleuve traverse les tribus de Netchaot, Poindah et Baco, dans sa haute et moyenne vallée, ainsi que la plaine et le village-centre dans sa partie aval. En 2006, un hôtel trois étoiles, le Koniambo, qui fait partie de la chaîne des Grands Hôtels de Nouvelle-Calédonie gérée par la Société financière et de développement de la Province Nord (Sofinor), a été ouvert en face de l'aéroport de Koné. Également à peu près à cette même période, apparaissent de nouveaux types de céramiques dont certaines continuent d'être façonnées jusqu'au début du XXe siècle. Biographie de Oumar Koné. L'autre district, celui de Poindah, est plus peuplé que celui de Baco mais regroupe toutefois une plus faible part de la population mélanésienne de Koné que ce dernier, du fait qu'il regroupe 7 tribus qui se répartissent dans la Chaîne à cheval entre les deux communes voisines de Koné (5 tribus : Netchaot, Noelly, Néami, Poindah et Bopope par ordre décroissant de population) et de Pouembout (2 tribus : Ouaté et Paouta-Baï, soit la totalité des tribus de la commune). Les forces françaises s'appuient alors sur les relations conflictuelles entre clans de la région, s'alliant avec des rivaux des lignages de Poindi Patchili, et surtout de Goodu, engagé depuis les années 1850 dans une politique d'extension de sa chefferie au détriment des clans et ensembles voisins, mais aussi de membres de son propre lignage : son frère Katélia Poadja engagé dans une lutte contre Goodu au sein de la lignée Poadja et de la chefferie duale Nädu-Görötû, mais aussi le lignage de Mwââgu de Baco, qui doit s'exiler au nord à Gatope dans les années 1850 sous la pression de Goodu[19]. Crédit photo : Credit Card Compare Première constatation, de nombreux facteurs ont influencé les noms donnés aux différents pays du monde, comme la géographie, le climat ou encore la vie sauvage locale. Il s'agit de la deuxième plus forte population d'origine européenne présente dans une commune de Province Nord, derrière Koumac, avec environ 1 500 individus (1 037 Européens, 444 métis et 259 « autres » en 2009). Google signification, signification google, origine google, que veut dire google, d'où vient le mot google, google origine, logo google Le nom Google est une déformation du terme anglais googol. S'y ajoutent des fonctionnaires (gendarmes, enseignants du collège, de l'antenne du lycée professionnel ou du lycée agricole et général Michel-Rocard de Pouembout, employés de la subdivision administrative, de la poste, de la commune ou de la province) ou des commerçants. Le centre agricole de Koné est finalement ouvert en février 1881 après le travail d'arpentage du géomètre Jean Caujolle sur une superficie d'environ 1 550 hectares, soit 104 lots de culture d'environ 3 à 4 ha chacun ; 47 lots de pâturage d'environ 20 ha chacun ; 52 lots de jardinage d'environ 1 ha chacun et 93 lots de village de 10 à 20 ares chacun. Koné est située sur la côte Ouest (sous le vent) de la Grande Terre, l'île principale de la Nouvelle-Calédonie, en Province Nord (dont elle est le chef-lieu depuis sa création en 1989). Le centre s’appuie sur un poste militaire créé lors de l'insurrection kanak de 1878. Au 30 septembre 2008, 262 entreprises sur les 1 059 de la commune inscrites au Répertoire d'identification des entreprises (RIDET), soit près du quart d'entre elles (24,7 %), relevaient du secteur « services collectifs, sociaux et personnels ». Mais en termes d'infrastructures publiques Koné est restée longtemps loin derrière Poindimié, sur la côte Est, où se trouve un hôpital (alors qu'il n'y a qu'un dispensaire à Koné) et un lycée d'enseignement général et technologique. La côte est (Touho et Poindimié) est à une centaine de kilomètres. Pour la Nouvelle-Calédonie, la première grande campagne de fouilles est menée en 1952 par E. W. Gifford et D. Shutler. Did you scroll all this way to get facts about cadeau prenom? Plus tard, un poste militaire (dont le bâtiment sert aujourd'hui de gendarmerie) est créé en 1879 pour mieux surveiller les populations kanaks après l'insurrection du Grand chef Ataï en 1878, et une paroisse catholique est créée en 1891. Des attaques sont menées contre des installations coloniales, des familles de colons et leurs propriétés ou encore contre la mine du Kopéto au sud (sur le territoire de Poya, suivies d'une violente répression menée par les autorités coloniales secondées par les grandes-chefferies de Baco et Poindah et de plusieurs auxiliaires mélanésiens jusqu'en mars 1918. https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Koné&oldid=175403251, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Cette tension atteint son paroxysme avec l'introduction du christianisme - protestant ou catholique - à partir du début du XXe siècle - entraînant de nouvelles rivalités - et avec les enrôlements forcés de Mélanésiens pour aller combattre en Europe durant la Première Guerre mondiale : ces différents facteurs aboutissent à l'insurrection kanak ou révolte de Koné déclenchée en avril 1917 par les tribus montagnardes entre Koné, Poindimié et Hienghène. Auguste Poadja, grand chef de 1963 à 1996. Ces structures sont entièrement bouleversées par d'importants mouvements de migrations de clans de langues paicî venus des vallées de la Goièta, de la Ponérihouen et de la Tchamba (sur le territoire actuel de la commune de Ponérihouen) sur la côte Est, à partir du XVIIIe siècle. À la suite des troubles de 1878, notamment stoppés à Koné grâce aux chefferies Nädu-Görötû et Mwââgu, un centre militaire est installé dans ce qui commence à devenir le noyau villageois européen de Koné en 1879, transformé par la suite en gendarmerie, afin de protéger les colons, d'assurer l'ordre au sein de la population européenne mais aussi de surveiller les Mélanésiens des réserves. La violence culmine avec l'assassinat d'un gendarme à Néami le 28 avril 1987, suivi de l'affaire dite de Tiaoué le 30 septembre 1987, au cours de laquelle deux autres gendarmes sont tués à la tribu de Tiaoué, entraînant rapidement l'arrestation de plusieurs militants indépendantistes (dont Maurice Goroépata) pour non dénonciation de malfaiteurs[26]. J.-C., parfois également appelée simplement Lapita en référence à ces poteries représentatives de cette période, retrouvées dans une grande partie du Pacifique insulaire et sur des sites essentiellement littoraux, dénotant peut-être une utilisation commerciale, voire rituelle[2]. Je n'en ai pas vu de plus grandes en Nouvelle-Calédonie et quand on songe que cette plaine est arrosée par la rivière de Puentpuï [la Pouembout] et la grande rivière de Coneï [la Koné] qu'on peut juger de la fertilité par l'état satisfaisant des cultures. La commune de Koné est créée en mai 1887, la population européenne étant alors dotée d'une commission municipale nommée, d'abord composée de 3 membres jusqu'en juillet 1893 puis de sept membres. Elle facilite aussi la recherche d'informations sur les familles ou La moitié méridionale constitue le bassin versant de la rivière Koné et de ses nombreux affluents, prenant sa source dans la Chaîne centrale près de la tribu de Netchaot et coulant selon un axe est-ouest jusqu'à son embouchure en delta, recouvert de mangroves, donnant sur la baie de Koné (encadrée par les presqu'îles de Pindjen au nord et de Foué au sud). Le gouverneur des Etablissements français de l'Océanie Joseph du Bouzet, effectue à bord du bateau à vapeur Styx en octobre 1857 une première reconnaissance de la région, et il la reconnaît comme l'une des plus belles parties de la côte Ouest. Pour les catholiques, l'effort de mission ne commence véritablement qu'à partir de 1905, essentiellement sur la rive droite de la Koné et en s'appuyant fortement sur le clan Göièta et certains lignages Nädu, mais n'obtient que de faibles résultats avant la révolte de 1917 (seulement quelques dizaines de baptême sont célébrés dans les tribus de Koniambo en 1909 et à Néami dans la Chaîne en 1914). Cette dernière hypothèse semble confirmée par le fait qu'elles sont de facture soignée, avec des "formes complexes, fabriquées avec soin, et richement décorées de motifs stylisés si caractéristiques qu’ils évoluent peu dans l’espace et dans le temps."[3]. Leur commencement étant traditionnellement daté des environs de 1740. En dehors de ces terres de réserve et des quelques habitats mélanésiens permanents qui se maintiennent en dehors, la quasi-totalité de la plaine devient alors terre de colonisation. La signification du nom diffère selon le Hanja utilisé, écrire à chaque syllabe du nom. De plus, ce total ne prend pas en compte encore une fois les activités agricoles vivrières des tribus. Mais Le Coat de Kervéguen ne fait rien de cette propriété, où il souhaitait initialement implanter une usine sucrière, et le terrain retourne au Domaine par droit de déchéance le 19 décembre 1877, suivi de celui de Pouembout, le 8 février 1879. En 1898, ces deux « chefferies » deviennent des « grandes chefferies » ou « districts coutumiers », comprenant respectivement 7 et 5 tribus ou « petites chefferies ». Vous pourrez alors "Je voudrais au nom de mon collègue le ministre Amadou Koné et au nom du président de la République vous demander de faire bon usage des véhicules que vous recevez aujourd'hui. Malgré le retard considérable pris par ce projet, les premières coulées ont lieu en 2013. En 1888, Koné se dote d'une commission municipale. Intégrés parmi les « Broussards » se trouvent les descendants de la main d'œuvre indonésienne venue travailler dans les mines ou dans les plantations de café au début du XIXe siècle et qui sont aujourd'hui environ 150 (149 en 2009), soit 2,9 % de la population totale de la commune. Il s'agit de la première application des dispositions offertes à la colonisation libre par l'arrêté du 11 mai 1880. Il s'agirait de populations de langues austronésiennes dont l'autre caractéristique était de maîtriser l'art de la céramique. Signification du Prénom Katalina Signification : La signification du prénom Katalina est : Pur (Pure) (*). Cependant, d'autres versions sont plus couramment utilisées. Patronyme Koné est un patronyme mandingue très fréquent au Mali, en Côte d'Ivoire et au Burkina Faso : hommes politiques et militaires Les populations mélanésiennes à l'aube de la colonisation, La « pacification » coloniale française de la région, La population « broussarde » : Européens et Indonésiens, Des activités culturelles et sportives en développement, Repères routiers sud : RPN1 Voh - Koné - Pouembout, Repères routiers ouest-est : RPN 2, transversale Koné-Tiwaka, Population municipale légale en vigueur au, Toponymes de la commune de Koohnê, Province Nord. Elle donne l'explication historique du nom de chaque pays du monde, en remontant aussi loin que le permettent leurs plus anciennes traductions littérales ! Durant la période dite des « Évènements », les affrontements sont nombreux entre les partisans de l'indépendance (regroupés autour de Jean-Marie Tjibaou et du Front de libération nationale kanak et socialiste, dit FLNKS) et les défenseurs du maintien dans la France, et la commune est scindée entre le village, les stations d'éleveurs de la plaine et la tribu de Poindah, majoritairement anti-indépendantistes, et les autres tribus, toutes majoritairement indépendantistes. Longue de 71 km et inaugurée en 2000, il s'agit de l'un des principaux axes structurant en Province Nord. Le tertiaire est sinon très développé et en croissance, avec 746 personnes travaillant dans ce secteur en 1996 puis 1 423 en 2009 (64,13 % des actifs occupés), dont un cinquième environ (312, ou 21,93 %) travaillant dans la fonction publique municipale, provinciale ou du Commissariat délégué de la République (198 employés de service et agents de service de l'administration, 42 professions intermédiaires administratives et 72 cadres de la fonction publique), mais aussi dans les différents services publics de l'éducation (175 personnes en 2009 dont 13 professeurs ou professions scientifiques et 162 professeurs des écoles, instituteurs ou assimilés), la santé (30 professions intermédiaires de la santé et du travail social), la sécurité (68 gendarmes ou militaires) mais aussi dans l'information, les arts et les spectacles (16 actifs en 2009). La chaîne publique de télévision et radio Nouvelle-Calédonie 1re a fixé une de ses deux antennes délocalisées, avec studios, à Koné, l'autre étant située à Lifou et le siège à Nouméa. Se développe également en parallèle un autre type de poterie, dite de Podtanéan (du nom du site de Koné où ce style a été identifié pour la première fois) ou au battoir, qui semble au contraire avoir eu une utilité plus pratique comme en témoigne le fait qu'elles "sont de forme simple et décorées d’impressions que l’on a plus souvent attribuées à la technique de fabrication qu’a l’intention artistique"[3], mais aussi parce qu'elles ont eu une diffusion plus large sur la Grande Terre, ne se limitant pas aux sites littoraux. Traduction du soussou (Guinée). Ensuite, fut lancé le projet de construction d'une usine de traitement de nickel d'une capacité souhaitée de 60 000 tonnes par un partenariat de la Société minière du Sud Pacifique (SMSP), vendue après les accords par le dirigeant anti-indépendantiste Jacques Lafleur à la Province Nord pour procéder au rééquilibrage minier en faveur du Nord, et du groupe canadien Falconbridge (remplacé par le suisse Xstrata en 2004). S'y ajoutent la présence sporadique, pour des périodes plus ou moins longues, de santaliers eux aussi essentiellement britanniques. Un concurrent plus sérieux apparaît dans les années 1970, à travers le « groupe 1878 », fondé en 1971 par d'anciens étudiants mélanésiens en France métropolitaine gagnés aux idées de Mai 68, revendiquant d'importantes redistributions foncières (dont Élie Poigoune, qui dispose de nombreux liens coutumiers à Koné) et qui participent à la création en 1975 du Parti de libération kanak (Palika, l'une des premières formations clairement indépendantistes). Le pasteur Manathan Aigle royal (Ministère "Arbre de Vie", Italie) invite l'enseignant de TaNaKh Haïm Ouizemann (Israël). Elle est gérée par une société anonyme d'économie mixte locale (SAEML) dénommée « Société de télévision - radio » (STR), dépendant de la Province Nord qui l'a créée en septembre 2010[39]. Ces premiers contacts modifient les pratiques et rapports sociaux à l'intérieur des populations mélanésiennes de la région, par l'introduction des armes à feu, attestées dès les années 1840 mais aussi par l'intégration de certains beachcomber, par certains rapports conflictuels - Jean Guiart indique que des habitants de la basse vallée de la Pouembout ont été « massacrés avant l'arrivée des Français par une expédition punitive de santaliers australiens (en représailles du vol d'un fusil)... »[14] -, ou par des épidémies - la tradition orale en rapporte ainsi plusieurs avant 1853 à Koné et plus au sud à Népoui[15]. À cela s'ajoute l'Antenne du Lycée professionnel (ALP) de Touho et ses 130 élèves. Citons, Golson en 1962, Smart en 1969, Frimigacci (ORSTOM) dans les années 1970 et 1980, et plus récemment Galipaud (IRD) ou encore Christophe Sand (Université de la Nouvelle-Calédonie). Il s'agit des poteries dont la datation au carbone 14 fait remonter les plus anciennes traces aux alentours de 1 200 ou 1 300 av. De nombreuses concessions de petits colons sont vendues notamment à un grand propriétaire terrien de Koné, Sylvestre Leconte, qui va acquérir entre 1884 et 1910 : plus de 11 % des lots urbains, plus de 28 % des lots de jardin, plus de 13 % des lots de culture et plus de 25 % des lots de pâturage, totalisant 425 hectares (27 % de la superficie totale du centre) en tout pour un investissement de 30 000 francs. En effet durant tout le XXe siècle divers chantiers de fouilles révèlent d'autres exemplaires de ces poteries. 18/ 11/ 2020- 3 Kislev 5781 Les utilisateurs ayant consulté cette page ont également cherché: Kone nom de famille | Origine des noms koné | De quel origine est le nom de famille koné | Origine du nom koné | L'origine de la famille kone | Signification du nom de En janvier 1988, le journal du FLNKS, Bwenando, diffuse un dossier spécial dénonçant ce qu'il appelle « l'algérisation » de la région de Koné[27]. Siège de la chefferie Poadja (Pwêjaa), ce village mélanésien est notamment en bordure directe avec une propriété de colon (la station Caujolle) et officiellement hors de la réserve, mais pourtant régulièrement reconnu par les autorités coloniales ou missionnaires comme une « tribu »[20]. S'y ajoutent trois deux-étoiles (La Néa ouvert en 2009 à la sortie nord du village et qui fait également partie des « Grands Hôtels de Nouvelle-Calédonie », L'Hibiscus qui a été agrandi et réaménagé en 2007 et 2008 à l'entrée du chef-lieu, et L'Escale en son cœur)[réf. L'installation s'est surtout faite à partir des années 1860 lorsque la mine de Koniambo commença à être exploitée. Koné abrite un centre culturel provincial depuis 2005, à 3 km du village centre et qui se compose de plusieurs cases et d'une villa construite en 1880[36], et une salle polyvalente (de cinéma, de conférences et de soirées) baptisée Au Pitiri (ancien cinéma « CinéKoné » fermé en 2002 pour connaître une longue période de réhabilitation, elle est ouverte en décembre 2009 et officiellement inaugurée en juillet 2010)[37]. Les tribus possèdent alors de manière indivise les terres réservées aux peuples kanaks par le code de l'indigénat. cœur de Voh, accessible à pied, à cheval, et depuis Koné en avion, et surtout en ULM. Le site archéologique de Lapita, où fut découvert pour la première fois la poterie dite de la « tradition de Koné » qui sert d'emblême à la culture « Lapita » qui a fleuri dans une grande partie du Pacifique dans les 1ers millénaires avant notre ère, est un argument important de promotion touristique. La bague en pierre de lune est une bague de fiançailles parfaite, non seulement en raison de sa beauté, mais aussi de l'énergie et du calme féminins qu'elle apporte à la femme qui est proposée et à sa relation. N'hésitez pas à consulter les commentaires des autres personnes ou de nous faire partager ici les votre si vous avez plus d'informations à propos de ce prénom. Un procès d'assises a lieu à Nouméa entre le 7 juillet et le 19 septembre 1919 : au moins 5 personnes sont condamnées à mort, 45 aux travaux forcés et 5 à la réclusion criminelle[25]. Koné (en haeke : Koohnê[1]) est une commune de Nouvelle-Calédonie, sur la côte Ouest de la Grande Terre, sur la RT1, à 265 km au nord-ouest de Nouméa, à 10 km au nord de Pouembout et à 30 km au sud de Voh. De plus, le collège d'enseignement secondaire (CES) public de Koné, existant depuis 1976 avec alors l'ouverture d'une classe de 6e, et disposant d'une classe de chaque niveau (6e, 5e, 4e et 3e) depuis 1979, ne comportait à l'origine que 10 salles préfabriquées. La JS Baco a aussi remporté la coupe de Nouvelle-Calédonie en 1980, 1984, 1987, 1991 et 1995 et a été finaliste de la coupe en 1982, 1989, 2003, 2005 et 2006. N'hésitez pas à consulter les commentaires des autres personnes ou de nous faire partager ici les votre si vous avez plus d'informations à propos de ce prénom. Même si elle est minoritaire, il existe une solide population d'origine européenne à Koné avec entre un quart et un tiers de la population de la commune (24,4 % se déclarant Européens en 1996, puis 19,9 % à quoi s'ajoutent 8,5 % de métis et 5 % se disant « autres - calédoniens » en 2009). Cette formation est devenue la première force de la commune à partir de 2001. This video is unavailable. Enfin, il existe au moins deux terrains de camping : un gratuit à la plage de Foué, et un payant (avec possibilité de loger en case) à la tribu d'Atéou. Les tribus montagnardes de Bopope et d'Atéou (où la religion catholique s'est déjà fortement implantée) pour leur part reçoivent l'influence protestante par le biais de la grande chefferie de Poyes, située sur la côte Est (sur le territoire actuel de Touho), elle-même évangélisée à partir de 1901, la diffusion se faisant grâce aux relais coutumiers au sein du clan Garaatü. nord, vers Noëli (Näweèlé), Tiaoue (CéWé). Ils fondent ainsi une nouvelle chefferie dans la moyenne et haute vallée du fleuve Koné, et cherchent à intégrer à cette nouvelle structure, ou à en éliminer, les clans rivaux préexistants. Une base nautique provinciale, assurant des enseignements aux scolaires mais aussi des camps de vacances ou des locations en planche à voile, dériveurs et kayak de mer, a été inaugurée sur la plage de Foué en 2010. Idées prénoms bébé. Signification: Yahweh ( le dieu national des royaumes de l'âge du fer d'Israël et de Juda) est miséricordieux Plus d'informations sur le nom Nous avons la plus grande base de données de la France. Les plus anciennes traces de peuplement de la Nouvelle-Calédonie retrouvées à ce jour remonteraient à la fin du IIe millénaire avant l'ère actuelle, soit il y a environ 3 200 à 3 300 ans, avec une présence attestée dans la région de Koné. Les terres de réserve telles que circonscrites, essentiellement limitées aux espaces montagnards, ne correspondent pas totalement à la réalité des « villages » ou des implantations réellement existantes. Ce type de poterie disparaît assez brutalement au cours du Ier siècle. La commune a été créée en 1887, avec une commission municipale dont le maire est élu à partir de 1961. Noms pour chien issus des langues du monde entier. Si le missionnaire mariste en poste à Amoa sur la côte Est effectue quelques passages à Néami dans la Chaîne centrale dans les années 1870 et 1880, l'évangélisation des populations mélanésiennes dans la région de Koné est tardive, se faisant au tournant du XXe siècle. Les gendarmes s'installent notamment à Poindah, avec un héliport, en ayant le soutien de la grande-chefferie et de ses partisans. Ancien Directeur général du Trésor public ivoirien, Adama Koné a été promu Ministère auprès du Premier Ministre, chargé de l`Economie et des Finances, le 12 janvier 2017. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee, mais la loi relative à la démocratie de proximité du 27 février 2002 a, dans ses articles consacrés au recensement de la population, instauré des recensements de la population tous les cinq ans en Nouvelle-Calédonie, en Polynésie française, à Mayotte et dans les îles Wallis-et-Futuna, ce qui n’était pas le cas auparavant[28]. Le choix de l'indépendantisme en 1977 fait perdre l'essentiel de cet électorat (à quelques exceptions près, à l'instar de Daniel Devaud qui est maire pendant l'emprisonnement de Paul Napoaréa de 1988 à 1993), néanmoins minoritaire au sein de la commune. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'évolution de la popularité du prénom, de 1600 à nos jours, est calculée sur la base des prénoms mentionnés dans les différentes bases de Geneanet : le pourcentage correspond à la fréquence du prénom par rapport à l'ensemble des prénoms donnés chaque année. Googol est un terme de mathématique inventé par Edward Kasner. Au nord se détache le massif de Koniambo, culminant à 950 m, constitué de roches ultramafiques, séparé de la Chaîne centrale par la vallée encaissée de la Kamendoua à l'est, et descendant en pentes douces vers la presqu'île de Pindjen et la mer à l'ouest. Apparue fin 2019, la maladie Covid-19 est responsable d'une épidémie mondiale toujours pas freinée. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ce nom dérive du verbe "tala" qui comme en lingala veut dire voir, regarder, observer.On n'y a ajouté la particule "lu " qui en réalité est le pronom personnel "vous".Puis à la fin se retrouve "dio" qui signifie « ça » mais dont la compréhension peut être étendue à "cette histoire", ce problème", etc. Signification du prénom Moussa Etymologie : Sauvé des eaux (arabe). « Un hôpital à 3,6 milliards en septembre 2015 ». En 2019, la commune comptait 8 144 habitants[Note 1], en augmentation de 10,95 % par rapport à 2014 (Nouvelle-Calédonie : +0,98 %). (Touho et Poindimié) est à une centaine de kilomètres. Le cantonnement, mais aussi le maintien de rivalités anciennes avec les chefferies et grandes-chefferies alliées au pouvoir colonial, provoque des tensions sporadiques au sein des tribus de la réserve. La dernière modification de cette page a été faite le 12 octobre 2020 à 00:02. La population s'est particulièrement accrue dans les années 1990, passant de 2 919 habitants en 1989 à 4 088 au recensement de 1996 (40,05 % en sept ans, soit une moyenne de 5,7 % par année), du fait d'un solde naturel particulièrement important avec une forte natalité (un taux d'environ 27 pour 1000 en 2000) et une faible mortalité (un taux d'environ 7 pour 1000 en 2000). Finalement, Poindi Patchili doit se réfugier dans la Chaîne centrale tandis que Goodu est tué au rocher Até, dans la haute vallée de la Koné, le 13 janvier 1869, par une troupe d'auxiliaires mélanésiens commandés par le lieutenant de l'armée française à Wagap, le lieutenant Tonnot, dont les guides sont Ûrüwë. Ce développement s'est maintenu dans les années 2000, et plus particulièrement en 2004, Koné drainant véritablement la main d'œuvre de la Province depuis que la grande transversale avec la côte Est dite Koné-Tiwaka a été aménagée, la construction de l'Usine de traitement de nickel du Nord installée au pied du massif voisin de Koniambo et le développement de la conurbation VKP (qui totalisait en 2014 13 091 habitants). Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29], les précédents recensements ont eu lieu en 1996, 1989, 1983, 1976, 1969, 1963 et 1956. Un recensement complémentaire organisé en 2011 voit la population municipale encore augmenter à 5 772 personnes[32]. À l'époque de la construction de la route transversale de la Koné-Tiwaka, le secteur du BTP était le 3e de la commune en termes d'actif en 1996 avec 121 personnes. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1956.